- EAN13
- 9782738130204
- ISBN
- 978-2-7381-3020-4
- Éditeur
- Odile Jacob
- Date de publication
- 04/06/2013
- Collection
- OJ.POCHE SC.HU.
- Nombre de pages
- 208
- Dimensions
- 24 x 14,7 x 1,5 cm
- Poids
- 235 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 303.609 - 930.1
- Fiches UNIMARC
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L’Homme a-t-il toujours été violent ?
La guerre est-elle consubstantielle au genre humain ou est-elle inhérente à la construction des sociétés modernes ?
Nourri par les recherches scientifiques, le débat sur le pourquoi de la violence n’en finit pas de rebondir. Il donne à la querelle qui opposait Rousseau (le « bon sauvage ») à Hobbes (« l’homme est un loup pour l’homme ») une actualité toute nouvelle.
Pour en finir avec les approches caricaturales, Marylène Patou-Mathis propose avec ce livre une vaste enquête qui croise les données de l’archéologie et de l’anthropologie. Explorant les raisons qui ont transformé les chasseurs-cueilleurs en sociétés guerrières – sédentarisation et changement d’économie, avènement du patriarcat, apparition des castes –, elle pointe aussi le rôle des croyances et met en évidence l’existence d’une violence antérieure à l’apparition de la guerre.
Ainsi se dessine peu à peu le portrait d’un homme préhistorique, dont la violence exprime surtout ses peurs et ses premières pensées existentielles : humain, trop humain.
La guerre est-elle consubstantielle au genre humain ou est-elle inhérente à la construction des sociétés modernes ?
Nourri par les recherches scientifiques, le débat sur le pourquoi de la violence n’en finit pas de rebondir. Il donne à la querelle qui opposait Rousseau (le « bon sauvage ») à Hobbes (« l’homme est un loup pour l’homme ») une actualité toute nouvelle.
Pour en finir avec les approches caricaturales, Marylène Patou-Mathis propose avec ce livre une vaste enquête qui croise les données de l’archéologie et de l’anthropologie. Explorant les raisons qui ont transformé les chasseurs-cueilleurs en sociétés guerrières – sédentarisation et changement d’économie, avènement du patriarcat, apparition des castes –, elle pointe aussi le rôle des croyances et met en évidence l’existence d’une violence antérieure à l’apparition de la guerre.
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