- EAN13
- 9782376650812
- ISBN
- 978-2-37665-081-2
- Éditeur
- Contre-Allée
- Date de publication
- 21/10/2022
- Collection
- CONTREBANDE (1)
- Nombre de pages
- 128
- Dimensions
- 19,1 x 13,6 x 1 cm
- Poids
- 150 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Le goût pour les « mots étrangers » – de l’anglais au grec ancien en passant par le latin –, Corinne Atlan l’a toujours eu. Mais rien n’avait laissé présager qu’elle s’intéresserait au japonais... Pourquoi choisir cette langue ? Peut-être pour cet éloignement, pour le dépaysement que représentent les idéogrammes et syllabaires japonais – kanji et autres hiragana et katakana.
Parsemant son récit de références fascinantes à la littérature et à la culture japonaises, Corinne Atlan nous permet de côtoyer, par son travail, des auteurs incontournables : Haruki Murakami, Sawako Ariyoshi, Ryû Murakami, Mori Ôgai, Fumiko Hayashi, ou encore Kôtarô Isaka.
L’autrice revient également sur le parcours surprenant qui est le sien, réfléchissant sur la traduction d’une langue si différente du français, convoquant ses souvenirs, ses doutes, questionnant sans cesse ses pratiques et dépeignant son processus de traduction, de l’interprétation d’un texte à sa traduction, pointant le nécessaire lâcher-prise et l’importance de faire son deuil de l’original.
Loin de « l’exotisme » qui a longtemps accompagné les écrits au sujet de « l’Empire du Soleil-Levant », Corinne Atlan nous raconte les spécificités d’une langue dont le sens passe par le dessin, évoquant la richesse d’une cultue basée sur les oppositions et les paradoxes nés de son histoire. Au-delà d’une réflexion sur la traduction, Le Pont flottant des rêves est aussi une véritable invitation au voyage, à la découverte, par la lecture, de l’incroyable richesse de la culture et de la littérature japonaises.
Parsemant son récit de références fascinantes à la littérature et à la culture japonaises, Corinne Atlan nous permet de côtoyer, par son travail, des auteurs incontournables : Haruki Murakami, Sawako Ariyoshi, Ryû Murakami, Mori Ôgai, Fumiko Hayashi, ou encore Kôtarô Isaka.
L’autrice revient également sur le parcours surprenant qui est le sien, réfléchissant sur la traduction d’une langue si différente du français, convoquant ses souvenirs, ses doutes, questionnant sans cesse ses pratiques et dépeignant son processus de traduction, de l’interprétation d’un texte à sa traduction, pointant le nécessaire lâcher-prise et l’importance de faire son deuil de l’original.
Loin de « l’exotisme » qui a longtemps accompagné les écrits au sujet de « l’Empire du Soleil-Levant », Corinne Atlan nous raconte les spécificités d’une langue dont le sens passe par le dessin, évoquant la richesse d’une cultue basée sur les oppositions et les paradoxes nés de son histoire. Au-delà d’une réflexion sur la traduction, Le Pont flottant des rêves est aussi une véritable invitation au voyage, à la découverte, par la lecture, de l’incroyable richesse de la culture et de la littérature japonaises.
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