- EAN13
- 9782918490685
- ISBN
- 978-2-918490-68-5
- Éditeur
- Wildproject
- Date de publication
- 17/05/2018
- Collection
- Le monde qui vient
- Nombre de pages
- 323
- Dimensions
- 20,2 x 13,1 x 2,5 cm
- Poids
- 380 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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22.00
« Avec ce compte-rendu de la conquête des États-Unis du point de vue de ses victimes, Roxanne Dunbar-Ortiz nous rend un service immense. Renseigné en profondeur, éloquent et lucide, ce puissant récit d'un crime terrible prend aujourd'hui un sens nouveau : les survivants rejoignent en effet les peuples indigènes du monde pour lutter - en idées et en actions - contre la destruction écologique du causée par la civilisation industrielle. »
Noam Chomsky, linguiste
« Voici sans doute la plus importante histoire des États-Unis jamais écrite. Voici, restituée de façon honnête et souvent poétique, l'histoire de ces traces et d'un peuple qui a survécu, meurtri mais insoumis. Spoiler alert : la période coloniale n'est pas close - et tous les Indiens ne sont pas morts. »
Robin Kelley, historien
« L'oubli de l'histoire est la maladie fondamentale de la plupart des Américains blancs. Dunbar-Ortiz demande à ses lecteurs de retourner à ce point de départ : de s'enraciner dans la poussière rouge et les débris de la mémoire. »
Mike Davis, sociologue
« Issue d'un milieu ouvrier, ayant grandi en Oklahoma, Roxanne Dunbar-Ortiz a participé à tous les grands mouvements féministes ou révolutionnaires des années 1960 et 1970. Elle éclaire ces expériences avec une implacable précision, et fait preuve d'une fière et admirable indépendance. »
Howard Zinn, historien
Noam Chomsky, linguiste
« Voici sans doute la plus importante histoire des États-Unis jamais écrite. Voici, restituée de façon honnête et souvent poétique, l'histoire de ces traces et d'un peuple qui a survécu, meurtri mais insoumis. Spoiler alert : la période coloniale n'est pas close - et tous les Indiens ne sont pas morts. »
Robin Kelley, historien
« L'oubli de l'histoire est la maladie fondamentale de la plupart des Américains blancs. Dunbar-Ortiz demande à ses lecteurs de retourner à ce point de départ : de s'enraciner dans la poussière rouge et les débris de la mémoire. »
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« Issue d'un milieu ouvrier, ayant grandi en Oklahoma, Roxanne Dunbar-Ortiz a participé à tous les grands mouvements féministes ou révolutionnaires des années 1960 et 1970. Elle éclaire ces expériences avec une implacable précision, et fait preuve d'une fière et admirable indépendance. »
Howard Zinn, historien
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