- EAN13
- 9782372410380
- ISBN
- 978-2-37241-038-0
- Éditeur
- HOZHONI
- Date de publication
- 13/04/2017
- Collection
- ESSAI
- Nombre de pages
- 189
- Dimensions
- 21 x 14,1 x 1,6 cm
- Poids
- 247 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Repenser l'écologie avec le Tao et le Zen. • Écologie, tao et zen. Arbres. Sources. • Une réflexion nourrie d'une longue confrontation avec l'âme de la Chine.
Dans son rapport à la nature, l'homme moderne semble s'être fourvoyé. Héritière d'une tradition dualiste née des pensées grecque et judéo-chrétienne, sa perspective humaniste s'est édifiée sur une représentation du monde où l'homme est la mesure de toute chose. La nature n'est plus dès lors qu'un décor qu'il peut exploiter à volonté. Au fil des siècles, de vaines tentatives pour sortir de ce paradigme ont été esquissées au temps des Lumières, avec Schelling et les romantiques ou, en Amérique, avec les tenants du transcendantalisme, Emerson, Thoreau, Whitman, Muir ou Burroughs. En contrepoint de cette approche prosaïque et destructrice pour l'environnement, l'âme millénaire de la Chine a privilégié le " naturel " sur la nature et considéré que ce " souffle ", dont l'homme n'est qu'une expression parmi d'autres, avait unifié le chaos originel. De cette perspective est née une sensibilité " poétique " au paysage, aux " arbres et aux sources ", et une intuition de l'instant, souvenir de notre transcendance essentielle, qui peut guider nos pas. En s'inspirant de la pensée chinoise, du taoïsme et du bouddhisme zen, l'auteur, sinisant accompli et homme de nature, pose qu'une autre manière de penser la nature et l'écologie est aujourd'hui possible. Mais au préalable, il faut bien appréhender les points de divergence, la réalité de la modernité et s'assurer du fonds chinois. Et de cette réflexion naitra un nouveau paradigme et une nouvelle culture du naturel, une autre posture qui peut " humaniser la nature " et permettre de " renaturaliser l'homme ".
Dans son rapport à la nature, l'homme moderne semble s'être fourvoyé. Héritière d'une tradition dualiste née des pensées grecque et judéo-chrétienne, sa perspective humaniste s'est édifiée sur une représentation du monde où l'homme est la mesure de toute chose. La nature n'est plus dès lors qu'un décor qu'il peut exploiter à volonté. Au fil des siècles, de vaines tentatives pour sortir de ce paradigme ont été esquissées au temps des Lumières, avec Schelling et les romantiques ou, en Amérique, avec les tenants du transcendantalisme, Emerson, Thoreau, Whitman, Muir ou Burroughs. En contrepoint de cette approche prosaïque et destructrice pour l'environnement, l'âme millénaire de la Chine a privilégié le " naturel " sur la nature et considéré que ce " souffle ", dont l'homme n'est qu'une expression parmi d'autres, avait unifié le chaos originel. De cette perspective est née une sensibilité " poétique " au paysage, aux " arbres et aux sources ", et une intuition de l'instant, souvenir de notre transcendance essentielle, qui peut guider nos pas. En s'inspirant de la pensée chinoise, du taoïsme et du bouddhisme zen, l'auteur, sinisant accompli et homme de nature, pose qu'une autre manière de penser la nature et l'écologie est aujourd'hui possible. Mais au préalable, il faut bien appréhender les points de divergence, la réalité de la modernité et s'assurer du fonds chinois. Et de cette réflexion naitra un nouveau paradigme et une nouvelle culture du naturel, une autre posture qui peut " humaniser la nature " et permettre de " renaturaliser l'homme ".
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