Les nouveautés de février 2017

Romans

Éditions Gallmeister

Mack Hopper, agent de la CIA, arrive au Korach en 1957 avec sa femme
et leur jeune fils Terry. Sa mission est de tisser des liens avec le jeune
roi de ce pays sans ressources mais déterminant pour l’influence
américaine au Moyen-Orient. Il se rapproche peu à peu du souverain plein de charme jusqu’à ce que ce dernier soit mystérieusement assassiné. Quarante ans plus tard, Terry, devenu historien, entreprend des recherches sur ce qui s’est passé au Korach. Petit à petit, il explore souvenirs et archives de cette petite Amérique du bout du monde pour trouver la clé du mystère qui entoure la mort du roi et, surtout, découvrir quel fut le rôle de son père dans cette affaire.
Little America questionne la politique étrangère américaine, mais ce roman envoûtant met surtout en scène la quête d’un fils cherchant à comprendre qui est réellement son père.


14,00

Anton Winter a grandi en pleine nature, dans un jardin luxuriant et des bois touffus, un cocon de verdure gouverné par sa grand-mère, à distance du monde contemporain. Devenu adulte, il vit sur le toit d’un gratte-ciel, contemplant à l’occasion une ville dévastée. Il s’occupe de ses oiseaux et observe une apocalypse imminente. Le chaos règne à l’approche d’une mystérieuse fin du monde programmée, les suicides de masse se multiplient. Puis Anton rencontre Frederike et tombe amoureux pour la première fois.
Dans l’hôpital abandonné où elle travaille, Frederike se lie d’amitié avec Marta, enceinte, qui s’avère être la femme de Leander, le frère qu’Anton a perdu de vue depuis des années… Ensemble, ils tentent d’imaginer
un futur impossible.


8,90

Titus n’aimait pas Bérénice alors que Bérénice pensait qu’il l’aimait. Titus est empereur de Rome, Bérénice, reine de Palestine. Ils vivent et s’aiment au Iᵉʳ siècle après Jésus-Christ. Racine, entre autres, raconte leur histoire au XVIIᵉ siècle. Mais cette histoire est actuelle : Titus quitte Bérénice dans un café. Dans les jours qui suivent, Bérénice décide de revenir à la source, de lire tout Racine, de chercher à comprendre ce qu’il a été, un janséniste, un bourgeois, un courtisan. Comment un homme comme lui a-t-il pu écrire une histoire comme ça ? Entre Port-Royal et Versailles, Racine devient le partenaire d’une convalescence où affleure la seule vérité qui vaille : si Titus la quitte, c’est qu’il ne l’aime pas comme elle l’aime. Mais c’est très long et très compliqué d’en arriver à une conclusion aussi simple.
Titus n’aimait pas Bérénice alors que Bérénice pensait qu’il l’aimait. Ils vivent et s’aiment au Iᵉʳ siècle après Jésus-Christ. Racine, entre autres, raconte leur histoire au XVIIᵉ siècle. Mais cette histoire est actuelle : Titus quitte Bérénice dans un café.


6,30

1943, asile de Saint-Alban en Lozère. Deux psychiatres organisent la résistance à la négation des fous, tout en cachant des maquisards parmi eux. Ils accueillent une jeune résistante juive, Denise Glaser, en même temps que le poète Paul Éluard et sa compagne Nusch. Dans cet hôpital, où l’on favorise le surgissement de ce que l’on nommera plus tard l’art brut, le poète découvre, sous le regard fasciné de Denise, comment la parole des «fous» garantit la parole des poètes.
1943, asile de Saint-Alban en Lozère. Deux psychiatres organisent la résistance à la négation des fous, tout en cachant des maquisards parmi eux...


9,10

Ils sont six adolescents à s’être rencontrés dans ce camp de vacances en plein coeur de l’Arizona. Leurs riches parents ne savaient pas quoi faire d’eux cet été-là, et ils ont décidé d’endurcir leurs rejetons en les envoyant au grand air pour qu’ils deviennent de “vrais cow-boys”. Au sein du camp, ces enfants se sont trouvés, unis par le fait que personne ne voulait rien avoir à faire avec eux. Cette nuit-là, alors que tout le monde est endormi, ils ont une mission à accomplir, un acte de bravoure qui prouvera au monde entier qu’ils valent quelque chose. Et ils iront jusqu’au bout de leur projet, quel que soit le prix à payer.