- EAN13
- 9782258106475
- ISBN
- 978-2-258-10647-5
- Éditeur
- Hors collection
- Date de publication
- 27/06/2013
- Nombre de pages
- 109
- Dimensions
- 29,1 x 28,9 x 1,7 cm
- Poids
- 722 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 791.4372
- Fiches UNIMARC
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La Belle et la bête NE
les coulisses du tournage
De Dominique Marny
Préface de Pierre Bergé
Hors collection
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Jean Cocteau relit le conte de Mme Leprince de Beaumont La Belle et la Bête. L'occupation allemande, les rafles, les persécutions, les délations, les privations ne sont certainement pas étrangères à son désir de féerie. Pour son film, le poète envisage de mêler les univers de Vermeer et Gustave Doré afin de créer un conte de dfées "où les fées n'apparaissent pas".
Depuis 1937, Jean Marais est entré dans la vie de Jean Cocteau. Son succès dans L'Éternel Retour en a fait un jeune premier qui fascine toute une génération. En mars 1944, Cocteau achève une première version et organise une lecture pour le directeur de production de Gaumont, Jean Marais, Georges Auric, Marcel Pagnol et sa maîtresse, une certaine Josette Day… Le débarquement, la libération de Paris, l'épuration ne le détournent pas de son projet. Prisonnier des Allemands, Henri Alekan est parvenu à s'évader. Cocteau pressent que ce jeune chef opérateur donnera à ses images la somptuosité qu'il recherche. René Clément, qui tourne La Bataille du rail, lui apportera l'aide technique et Christian Bérard, le complice de toujours, se chargera des décors et des costumes. Le 26 août 1945, Cocteau et son équipe s'installent à Rochecorbon : le tournage commence…
Grâce aux sompteuses photos de tournage de Corbeau, aux archives personnelles de Jean Cocteau, et au talent de conteuse de Dominique Marny, la petite-nièce du poète, ce livre nous offre la magie d'un des plus grands films mythiques et oniriques du cinéma français.
Depuis 1937, Jean Marais est entré dans la vie de Jean Cocteau. Son succès dans L'Éternel Retour en a fait un jeune premier qui fascine toute une génération. En mars 1944, Cocteau achève une première version et organise une lecture pour le directeur de production de Gaumont, Jean Marais, Georges Auric, Marcel Pagnol et sa maîtresse, une certaine Josette Day… Le débarquement, la libération de Paris, l'épuration ne le détournent pas de son projet. Prisonnier des Allemands, Henri Alekan est parvenu à s'évader. Cocteau pressent que ce jeune chef opérateur donnera à ses images la somptuosité qu'il recherche. René Clément, qui tourne La Bataille du rail, lui apportera l'aide technique et Christian Bérard, le complice de toujours, se chargera des décors et des costumes. Le 26 août 1945, Cocteau et son équipe s'installent à Rochecorbon : le tournage commence…
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