- EAN13
- 9782226307682
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 09/2014
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Albin Michel 25,00
Entre Paris, Londres, New York, ce fut longtemps « la banque ». Un monde
mystérieux où le pouvoir et l'argent s'entremêlent. Car Lazard, c'est plus
qu'une banque d'af-faires qui a tout réinventé, les OPA, les fusions et autres
raids boursiers. C'est aussi un réseau unique de personnalités qui
s'entraident ou se tuent selon leurs intérêts à l'échelle planétaire. Martine
Orange, qui a décrit l'effondrement de Vivendi dans Une faillite française,
nous fait pénétrer dans le sérail. Celui des financiers mais aussi des patrons
de multinationales et des ministres.
Comment la banque a-t-elle échappé à la nationalisation en 1981 ? A-t-elle eu
des fidélités successives avec ses clients ? Sur quoi reposait l'immense
influence de Michel David-Weill, l'homme qui la dirigea pendant trente ans ?
Pourquoi sa succession, confiée au redoutable Bruno Wasserstein, s'est-elle
déroulé dans un climat d'une telle violence ? Quel rôle a-t-elle joué dans
l'ascension de grands PDG comme Antoine Riboud autrefois ou plus récemment de
Bernard Arnaud ?
Un reportage passionnant, une enquête impitoyable, et une analyse de
l'intérieur - car beaucoup de ces financiers ont accepté pour la première fois
de témoigner - sur un demi siècle d'un capitalisme de plus en plus débridé.
mystérieux où le pouvoir et l'argent s'entremêlent. Car Lazard, c'est plus
qu'une banque d'af-faires qui a tout réinventé, les OPA, les fusions et autres
raids boursiers. C'est aussi un réseau unique de personnalités qui
s'entraident ou se tuent selon leurs intérêts à l'échelle planétaire. Martine
Orange, qui a décrit l'effondrement de Vivendi dans Une faillite française,
nous fait pénétrer dans le sérail. Celui des financiers mais aussi des patrons
de multinationales et des ministres.
Comment la banque a-t-elle échappé à la nationalisation en 1981 ? A-t-elle eu
des fidélités successives avec ses clients ? Sur quoi reposait l'immense
influence de Michel David-Weill, l'homme qui la dirigea pendant trente ans ?
Pourquoi sa succession, confiée au redoutable Bruno Wasserstein, s'est-elle
déroulé dans un climat d'une telle violence ? Quel rôle a-t-elle joué dans
l'ascension de grands PDG comme Antoine Riboud autrefois ou plus récemment de
Bernard Arnaud ?
Un reportage passionnant, une enquête impitoyable, et une analyse de
l'intérieur - car beaucoup de ces financiers ont accepté pour la première fois
de témoigner - sur un demi siècle d'un capitalisme de plus en plus débridé.
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