- EAN13
- 9782226284648
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 03/01/2013
- Collection
- Spiritualités vivantes Poche
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
En présence de Ramana Maharshi
Le témoignage de Suri Nagamma
Suri Nagamma
Albin Michel
Spiritualités vivantes Poche
Autre version disponible
-
Papier - Albin Michel 19,00
Ramana Maharshi fut l'un des plus grands et des plus singuliers maîtres de
l'Inde contemporaine. Son enseignement a la simplicité de l'absolu : pour être
libéré de l'illusion du monde, il faut trouver le Soi. Lui-même, à l'âge de
seize ans, après une expérience libératrice, abandonna son foyer et partit en
ermitage sur la montagne sacrée Arunâchala. Peu à peu, des devotees
(disciples) commencèrent à venir vivre auprès de lui ; et c'est ainsi qu'en
1922, après qu'il eut passé vingt-trois années sur la montagne, fut créé
autour de lui un ashram où des milliers de pèlerins et visiteurs venus d'Inde,
et bientôt du monde entier, se pressaient, attirés par le rayonnement de sa
présence.
Suri Nagamma fut l'une de ses très proches disciples. Veuve à douze ans, elle
rejoint l'ashram en 1941 et écrit à son frère pour lui raconter son quotidien.
Ce sont ses lettres, de 1945 à la disparition de Ramana Maharshi en 1950, qui
sont ici traduites. Elles font revivre l'expérience auprès du maître, sa
manière de guider chaque visiteur, riche ou miséreux, érudit ou ignare, selon
sa propre voie.
l'Inde contemporaine. Son enseignement a la simplicité de l'absolu : pour être
libéré de l'illusion du monde, il faut trouver le Soi. Lui-même, à l'âge de
seize ans, après une expérience libératrice, abandonna son foyer et partit en
ermitage sur la montagne sacrée Arunâchala. Peu à peu, des devotees
(disciples) commencèrent à venir vivre auprès de lui ; et c'est ainsi qu'en
1922, après qu'il eut passé vingt-trois années sur la montagne, fut créé
autour de lui un ashram où des milliers de pèlerins et visiteurs venus d'Inde,
et bientôt du monde entier, se pressaient, attirés par le rayonnement de sa
présence.
Suri Nagamma fut l'une de ses très proches disciples. Veuve à douze ans, elle
rejoint l'ashram en 1941 et écrit à son frère pour lui raconter son quotidien.
Ce sont ses lettres, de 1945 à la disparition de Ramana Maharshi en 1950, qui
sont ici traduites. Elles font revivre l'expérience auprès du maître, sa
manière de guider chaque visiteur, riche ou miséreux, érudit ou ignare, selon
sa propre voie.
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